LE RIRE

Dans les parties « Rire, une véritable gymnastique de l’intérieure ? », « Physiologie du rire » et « Les bienfaits », nous montrons que le rire est perçu de différentes manières chez l’homme.

 

Tout d’abord par les parties de notre corps, en effet, il fait travailler nos muscles, notre cerveau et également notre cœur, puisque, comme le prouve notre expérience, le rythme cardiaque s’accélère lorsque l’on rit.

                                                                                                                                             Cependant, le rire est également perçu par des déterminismes internes et externes, nommés les stimuli, qui peuvent varier selon les personnes. Le rire ne se traduit donc pas de la même manière chez tout le monde, que ce soit chez l’enfant ou chez l’adulte.

 

Globalement, nous montrons bien dans ces parties que le rire est bon pour l’homme et qu’il est perçu par le corps de manière positive. Il nous fait faire du sport, il nous aide à digérer, à combattre la douleur et à combattre le stress ; il comporte plusieurs aspects que l’on retrouve dans le sommeil et principalement il DIVERTI.

 

 

Enfin, dans les parties « L’homme, le seul à rire ? » et « Les procédés », nous différencions les différentes manières de provoquer le rire chez l’homme.
 

En effet, l’homme n’est pas le seul à rire, les singes seraient eux aussi capable de rire, cependant on distingue l’humour du rire puisque chez l’homme, l’humour est l’une des manières de provoquer le rire ce qui n’est pas le cas chez les singes.                                                                                                        

De plus, le comique, le burlesque, l’ironie, la parodie et l’autodérision sont également des procédés provoquant le rire chez l’homme de différentes manières. On retrouve donc le rire au théâtre sous plusieurs formes aux différents siècles.

 

Le rire est donc perçu et provoqué de manière différente en fonction de chaque critère constituant un homme.